vendredi 11 août 2017

L'impossible Oubli

Bon, voilà un moment déjà que j'ai abandonné ce blog. 

Et il serait temps que je m'y remette... parce que je suis en train de me faire distancer par les blogueurs et blogueuses qui ont déjà lu mon livre et l'ont présenté sur Facebook !
Et pourtant il ne parait que le 24 août !

Alors vite, vite, voici le nouveau venu.



Ce nouveau roman débute peu après la Libération, dans une France qui cherche à se remettre en ordre, et se poursuit sur une trentaine d'années, jusqu'en 1975.
Comme d'habitude, les événements historiques vont jouer un grand rôle dans le destin des protagonistes.

Carmen, jeune institutrice, a sauvé Simon, un petit garçon juif durant la guerre et, dans mon récit, je me suis interrogée sur "l'après" : comment vivre lorsque toute sa famille a été anéantie dans les camps, et qu'on se retrouve tout seul ?
C'est ce que vont avoir à affronter Carmen et Simon.
C'est aussi l'attachement qui les lie indissolublement l'un à l'autre que je raconte. Même si, forcément, la vie les séparera.

L'intrigue est construite pour être lue indépendamment, mais ce roman est aussi la suite (et fin) de la saga commencée avec "L’Éventail d'ivoire" et "La Chevelure d'ébène".

Qu'on se rassure, il n'est nul besoin d'avoir lu mes précédents livres pour suivre l'histoire, et l'on peut tout à fait commencer par celui-ci.
Et puis de nouveaux personnages vont apparaître, chacun portant un point de vue. Si Carmen est catholique et Simon juif, Grégoire apportera la vision de l'athée.
Quant à Marthe et Sarah, elles représentent les deux facettes de la société israélienne.

On retrouvera aussi la mère Michalon et les Fougerolles, rencontrés dans les épisodes précédents. Tous traverseront différemment les mutations de la société et les transformations de l'environnement et des modes de pensées.

Bien évidemment, tout cela reste un roman, et il y aura –forcément !- de l’amour, de l’apprentissage, des joies, des désillusions, des drames… 
Tout ce qui fait une belle histoire, même si elle est parfois tragique.

Et j’espère surtout que vous l’aimerez.




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