samedi 16 novembre 2013

Sur le banc

Quelques nouvelles, d'abord, de la Fête du Livre de Saint-Etienne qui a été, cette année encore, un très bon cru. Beaucoup de visiteurs, rencontres très agréables, discussions enrichissantes et parfois retrouvailles avec de vieux amis, tout cela fut bon. En plus, le temps était de la partie : il a fait très beau et très chaud. Parfois même un peu trop, sous la bâche ! 

Un grand merci à tous ceux qui sont venus me voir et ont accepté de faire connaissance et de m'accorder un peu de leur temps. J'espère qu'ils apprécieront mes livres. 

Un merci plus grand encore à tous ceux qui, suite à nos échanges, m'ont envoyé des mails. Je crois avoir répondu à tous, mais si ce n'est pas le cas, qu'ils n'hésitent pas à me le faire savoir. Parce que c'est toujours un immense plaisir de recevoir des nouvelles des lecteurs. 
Surtout quand mes bouquins leur ont plu !

Un merci tout spécial, aux deux lectrices qui ont pris la peine de me faire parvenir des lettres manuscrites par l'intermédiaire de mon éditeur : qu'elles sachent que j'ai précieusement gardé leurs courriers.

Et un merci final à tout le personnel de la Librairie de Paris, qui nous a accueillis toujours avec la même gentillesse et la même compétence, et a participé à la grande réussite que fut la Fête.

Alors, avec tout ça, pourquoi le titre "Sur le banc" ?
C'est parce que, la semaine suivante, je me suis rendue à Fleury la Montagne, petite cité aux frontières de la Loire et de la Saône et Loire, à l'invitation de la médiathèque.
Parce que l'une des responsables de la médiathèque, c'est Françoise, amie de longue date.
Et avec son mari Philippe, ils ont pour habitude de faire poser leurs visiteurs sur le banc devant leur maison, comme aux temps anciens des veillées campagnardes.
Tradition fort sympathique dont voici le résultat.


Vous qui fûtes élèves à Simone Weil, à Saint-Etienne, vous la reconnaissez ? Elle n'a pas changé. J'ai eu la chance de l'avoir comme prof de philo dès sa première année d'enseignement.
Et Philippe, à sa gauche, vous vous en souvenez, les khâgneux ? Oui, oui, c'est bien lui : c'était votre prof de prépa de Normale Sup, à Claude Fauriel.
J'ai oublié de vous dire : Françoise est aussi docteur en sociologie. 
C'est pas n'importe qui mes potes !

Ils animent d'ailleurs, dans leur petit village, un café philo, un jeudi par mois. Inutile de préciser qu'on vient de loin pour y assister ! 
Ce jour-là les soiffards habitués du bar font un peu la gueule, mais bon, une fois par mois, pour eux aussi, ça va.

Quant à  la rencontre avec les lecteurs de Fleury, ce fut un excellent moment. L'événement a d'ailleurs été rapporté par la presse locale. 
C'est ici :


Et ici : 


Alors, à tous ceux que j'ai rencontrés lors de ces journées, que ce soit à Fleury ou à Saint-Etienne, je souhaite d'immenses plaisirs de lecture.
Et je leur dis à bientôt.



1 commentaire:

  1. Les lecteurs et lectrices de Fleury ont été enchantés par cette rencontre et attendent la réédition du premier roman épuisé. Merci Christine d'être venue si généreusement dans notre petit village. Françoise

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